Aven du camelié

  • 19 Mars 2022
  • MASC :
    • Emilie
    • Bertrand
    • Alexandre
  • TPST : 5h45

Encore un samedi matin sans grasse mat. Rdv à 8h30 à Dieulefit pour prendre la route du Gard, direction l’Aven du Camelié.

« C’est à une demi-heure d’ici. J’y suis dans dix minutes. »

(Harvey Keitel dans Pulp Fiction)

Un groupe du MASC s’y est rendu y a pas si longtemps avec à la clef une expérience CO2 à faire sortir les renards. On tente notre chance quand même, avec pour objectif de se rendre au réseau inférieur à la réputation de « mange-genoux ».

A l’arrivée sur place, première surprise, on n’est pas tout seuls ! Un groupe de l’EDS 34 est déjà sur le pont. Le temps de dire bonjour, de se changer et d’engloutir la « difficile » marche d’approche à plat de 3 min et tout ce petit monde se retrouve à l’entrée de cette doline si caractéristique.

Le lieu est une classique locale parfaite pour les initiations et fréquentée par des pros. Du coup une multitude de broches constelle les parois et facilite un équipement multi groupes. Pour notre part c’est Emilie qui s’y colle. A l’entrée on prend la voie de gauche mais rapidement le goulet d’étranglement réunit tout le monde avant le 1er puits. Embouteillage d’humains au milieu des champs ! Bref ça tâtonne et ça mousquetonne de la corde à tous les étages.

Rebelotte au niveau du toboggan qui suit, un peu d’attente mais l’EDS nous laisse passer devant et nous arrivons rapidement au P22. C’est là que la dernière fois le CO2 avait commencé à faire son effet. Mais là tout va bien, ça respire le bon air calcaire. Emi… mimi… milie équipe ce puits comme une cheffe tout en gérant au poil la longueur de corde. Un simple point au fractio suffira pour cette fois car arrivés en bas, bah… y a pas de rab du tout.

On promène un peu dans ces jolies galeries sans oublier de prendre la pose, et de répondre aux exigences de notre réalisateur-youtubeur dénommé « Bébert, le verre de terre ». Avant tout mouvement dans un puits ou un passage clé, il faut attendre le signal et vérifier qu’on a bien suivi le scénario. Parfois j’oublie mon texte et on doit refaire la scène…
Alex: C’est quoi le texte déjà dans une descente de puits ?


Bébert : « A »
Alex: , quoi !?
Alex: « AAAaaaaaahh »

Silence sur le plateau, lumière et…. Action ! Nous continuons nos divagations et atteignons un joli boyau de 4 pattes puis le P6. De même que pour les puits précédents, Bébert équipe au poil car la corde fait pile ce qu’il faut. S’en suit un peu de marche, un passage bas, un peu de marche, de vidéo, puis le fameux laminoir au plafond si bas… Alors que l’instant d’avant et d’après les plafonds du « Métro » sont aussi hauts que les étoiles.

Nous voilà vite arrivés au bout des grandes galeries. Nous pique-niquerons devant un bestiaire de sculptures de glaise. Les réalisations sont belles et diversifiées mais comme toujours il y beaucoup de bip….

« On n’est pas bien là ? Paisibles, à la fraîche, décontractés du gland. .. « 

Les Valseuses…

Comme il est encore tôt et que le CO2 n’est pas au rendez-vous, nous prenons la direction du P12 qui donne accès au réseau inférieur. Ce n’est pas vraiment un puits mais plutôt une longue série d’étroitures verticales. Il nous reste une petite corde d’escalade qui nous permettra de descendre tranquillou en sécurité au descendeur. Mais bon, vu que ça frotte de partout, cette corde est juste symbolique.

En bas, une petite galerie nous permet de respirer un instant avant d’entamer le ramping/4 pattes. La légende disait que c’était du cailloux casse-genoux mais en fait ça va. C’est plutôt tapissé d’une glaise sèche/humide qui colle/glisse. Et y en a partout.

« J’ai les mains faites pour l’or, et elles sont dans la merde ! »

(Al Pacino dans Scarface)

Nous sommes dans les petits boyaux du fin fond de la terre. Les passages s’enchaînent en ramping puis 4 pattes puis ramping puis pieds devant à la descente suivi d’un 1/2 tour difficile pour remettre la tête devant, puis ramping puis un ptit bout de méandre et après, ça descend à droite. A cet endroit je fais une flèche de glaise pour indiquer le retour, je sais que ça devient vite labyrinthique ici. On poursuit et on descend en se posant la question de la remontée tout de même…

« La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. » Forrest Gump

A un moment Emilie nous dit qu’il y a de l’eau, que le passage est bas et étroit… Bref c’est là qu’on s’arrêtera sans avoir vu la rivière tant espérée. Emilie est un peu déçue mais Bébert et moi n’étions pas trop motivés par cette voûte mouillante étroite. On ne rejouera pas la scène de Die Hard avec le briquet dans les conduits de ventilation :
« Viens m’voir à Los Angeles, on passera Noël en famille, on fera la fête ! Mais non… au lieu de ça, il faut que je sois dans une PUTAIN de conduite d’aération… « 
(Bruce Willis dans Die Hard)

On prend donc le chemin du retour. Les boyaux se font vite, mais il reste 12 m d’étroitures verticales à remonter !! Et là… on va souffrir un peu tout de même. J ‘n’aime pas dénoncer mais Emilie en a quand même bien chié… Faut dire que les passages ne sont pas faciles, quand tu ne peux pas plier les genoux, bah… t’as du mal à remonter plus de 20 cm à la fois et ça sur 12m….

« Maintenant, je sais ce qu’éprouve un lapin dans son terrier « 

(Bruce Willis dans Die Hard)

Après… et bien… un peu d’attente au pied du P6 car un troisième groupe s’est incrusté dans la grotte et descend à douze…

Il y a désormais foisons de corde dans tous les puits. Et pour moi qui déséquipe et bien… c’est un véritable Mikado de cordes et mousquetons à chaque relais. Ça tricote, ça détricote… Le P22 se remonte assez vite. Puis au pied du toboggan Milie prend sur la droite pour aller voir d’où vient cette eau qui ruisselle. Après une bien jolie galerie nous arrivons à une belle et profonde baignoire aux eaux vert émeraude.

Emilie tentera de nous convaincre de faire trempette, mais bon… elle est fraîche et dehors il ne fait pas si chaud. La prochaine fois…

Il ne nous reste plus qu’à remonter à la surface et envoyer le clap de fin.

THE END…

Alex.

Formation corde

Aujourd’hui c’est formation corde avec Patrice Fialon, départ 6h du mat pour Saint Jean en Royans, ça pique un peu. Au passage je récupère Fanny a Montélimar, nous devons tous nous retrouver pour 8h30 sur le parking de la poste … Arrivés sur place nous retrouvons Patrice, Sébastien et Arnaud, Rita étant bloquée du dos ne pourra malheureusement pas faire partie des nôtre, mais ce n’est que partie remise 😉.

Nous partons rejoindre une petite falaise en bord de route à quelques minutes de nôtre point de rencontre … Patrice nous explique en gros le déroulement de la journée en fonction de nos besoins, il équipe une première partie simple avec 3 différentes cordes pour faire la différence en descente. Après quelques descentes il fait faim et ça tombe bien c’est l’heure de nous restaurer, la femme de Patrice nous rejoint avec leurs enfants et nous savourons nôtre picnic un peu plus bas en bord de falaise,au soleil ☀️, ça fait du bien. Le temps de remonter Patrice équipe une autre partie de la falaise avec des fractios, des devs et des mains courantes, le tout assez technique quand même.

Arnaud est le premier a s’élancer et il dévore le parcours avec aisance , normal, plus jeune plus souple et plus grand 😉🤣. Quand à nous c’est une autre paire de manches, les fractios ne nous aiment pas, Patrice nous observe et nous donne divers conseils et techniques, nous reprends sur nos erreurs. Sébastien se débrouille bien, il développe des techniques propres à lui pour se sortir de certaines situations 😁 Fanny à l’air assez à l’aise sur certaines parties, du moins c’est ce que je pense car a un moment elle s’est retrouvée à l’horizontale et presque a l’envers durant un cours Instant 😁. Et moi bien sûr je laisse ma pédale sur une main courante, encore une erreur à corriger.

Avant de déséquiper Patrice nous montre avec Arnaud comme cobaye une technique pour redescendre quelqu’un qui est bloqué suite à un malaise ou autre, ça à l’air simple, mais ça ne l’est pas tant que ça. La fin de cette formation approche, je déséquipe une partie du parcours et bien sûr j’en bave un peu.

Nous aidons Patrice à démêler et enrouler les cordes et ranger le matériel, nous nous arrêtons chez Patrice qui nous à gentiment invité à boire un coup 😉.

Voilà la journée était super, Patrice est très gentil et à l’écoute, très pédagogue . Nous rentrons tranquillement chez nous, je dépose Fanny qui a l’air exténuée, j’arrive vers 20h30 exténué moi aussi.

Cette journée fût très instructive et intéressante, a refaire.

Jojo

Compte rendu de la grotte du serpent dimanche 13 mars 2022

Compte rendu de la grotte du serpent dimanche 13 mars 2022

Participants :

  • Alex
  • Philippe
  • Arnaud
  • Rita
  • Séléne
  • Minou
  • Leila
  • Ludwig
  • Jojo

TPSP : 6 heures

Miracle, nous sommes à l’heure… En même pas 5 minutes, toutes les voitures sont au point de rendez-vous et nous partons en convoi vers le virage en épingle mentionné dans les recommandations de JJA.

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Gouffre Marco Polo, cette fois ni le froid ni le manque d’amarrages ne nous arrêteront !

  • Participant.es :
    • Bertrand
    • Emilie
  • TPST : 8h30

3ème visite au Marco Polo, avec pour objectif cette fois d’aller se frotter au « méandre des
Sassenageois ». Ce méandre se trouve au fond des puits d’entrée à -95 m, est long de 580 m, et a une
réputation pas des plus engageantes.

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COMPTE RENDU DE LA SORTIE AU SAINT MAURICE DIMANCHE 27 FEVRIER 2022

Participants : Serge A, Jean-Luc P

But de la sortie : Escalade de la cheminée et vérification des possibilités de suites dans la cavité de la Brèche n°1.

Départ de Montboucher sur Jabron à 9h en direction de Dieulefit, arrivée sur place sur le haut du massif à 10h30. Equipement de la falaise en corde avec les ancrages laissés sur place, dont un pris dans la glace.

Notre objectif est de passer l’étroiture et d’escalader la cheminée vue précédemment est déjà en partie vue par Serge. Après le passage de l’étroiture toujours aussi spartiate, nous prenons le temps de bien regarder cette cheminée pour s’apercevoir que le haut est complétement calcité. Inutile donc de faire l’escalade déjà difficile car les parois sont complètement recouvertes de moul miche. Nous en profitons pour passer une investigation totale dans le fond de la galerie, en bas de la cheminée arrêt sur étroiture avec de l’eau. Nous prenons aussi le temps de bien regarder la fameuse lucarne très étroite et descendante qui ne présente aucune suite possible.

Nous faisons la topographie de l’ensemble de cette petite cavité, nous repérons deux chauves-souris.

En remontant la falaise nous déséquipons celle-ci en enlevant même les goujons.

Fin des explorations pour cette cavité.

Nous profitons au passage pour descendre par le petit puits de la Brèche n°2 pour aller constater le niveau de la laisse d’eau toujours aussi haut.

Passage aussi à la Grotte de la poulie où une désobstruction trop importante et surtout sans courant d’air serait à faire. Là aussi fin des travaux pour nous.

En redescendant nous sommes passés faire une visite à la Grotte Saint Jaume. Il y avait 4 chauves-souris dont une tombée au sol que nous avons avec précaution mis en hauteur, elle s’est tout de suite accrochée à la paroi. Nous étions contents de ce sauvetage.

Bien comptant aussi de cette super journée sans vent avec toujours ce spectacle grandiose de la vue sur la vallée et les massifs environnants.

Serge

COMPTE RENDU DE LA SORTIE A DONZERE A LA GROTTE DE LA CHAUVE-SOURIS A DONZERE DU LUNDI 21 FEVRIER 2022

Participants M.A.S.C: Charlotte L, Michel C, Jean-Jacques A

Un membre de la L.P.O : Stéphane V

Trois scientifiques.

Paco C : l’apprenti au C.D.S 26

Le but de cette sortie était d’accompagner les scientifiques dans cette cavité pour faire des prélèvements de guano.

Charlotte, Michel et moi sommes arrivés à l’entrée du puits situé sur le bord de la falaise qui permet de descendre dans la grotte sans passer par l’entrée basse ce qui évite une pénible montée depuis la voie de chemin de fer et une petite escalade. Michel et Charlotte se sont attelés à l’équipement sur les broches que nous avions installées avec Hugues et René il y a déjà quelques années. Ces ancrages fixes permettent de mettre rapidement l’équipement de progression pour les gens de la L.P.O quand ils viennent faire les comptages. Pour ma part je suis resté en surface pour attendre le reste de l’équipe qui arrivait de faire des prélèvements dans une cavité au Pouzin. Quand ils sont arrivés vers 14h tout était en place, ils n’ont eu qu’à descendre.

Les prélèvements ont été pratiqués sur les tas de guano dans la première et deuxième salle. Une colonie importante a été observée dans la deuxième salle environ un millier d’individus, des Minioptères de Schreibers si je me rappelle bien le nom.

En fin d’après-midi tout le monde est ressorti. Pour les scientifiques belles récoltes de guano qu’il ne restera plus qu’à analyser en laboratoire.

Jean-Jacques.

Prospections secteur Lance/Cougoir (26) : 26-27-28 février 2022

Participante : Emilie


Samedi 26 février 2022
Ce week-end, pas de sortie sous terre pour moi. Mais dans la semaine, je vois un message de Jean-Jacques
sur le blog qui dit aller au local samedi matin pour faire du rangement. Parfait, ce sera l’occasion pour ma
part de découvrir le local et de récupérer les informations sur les prospections qui ont été faites fin des
années 1960 par le club spéléo du CEA de Pierrelatte à la Montagne de la Lance. Jean-Jacques a retrouvé
trois compte-rendus de l’époque, toutes les pages ne sont pas bien lisibles, il est surtout question du menu
des différents repas avalés au cours des repérages, mais j’arrive tout de même à glaner quelques
informations.
Il y est notamment mentionné :

  • L’exsurgence du Cougoir, au Sud-Est du massif de la Lance, sur la commune de Teyssières. Coordonnées en Lambert 3 : 824,3 242,6
  • La galerie de la Lionne, plus à l’Ouest, dans la face Nord-Est d’une grande barre rocheuse, reconnue sur
  • Une trentaine de mètres. La galerie continue mais la progression est arrêtée en raison de l’instabilité de la voûte. Il est écrit qu’ils y retourneront. Coordonnées : 823,1 241,8
  • l’aven de la Croix, à l’Ouest du Cougoir, sur la ligne de crête, verticale de 20 mètres. Coordonnées 823
  • 240,1
  • La « faille chaotique » au sud du Coucouru. Coordonnées 244,4 1249.


Jean-Jacques m’a bien précisé que ces coordonnées sont très approximatives (ah il n’y avait pas de GPS
ni de Top25 à l’époque ?). Je ne perds pas ma motivation pour autant. Rentrée à la maison, je m’empresse
de convertir les coordonnées pour les pointer sur les cartes IGN. Et je décide d’aller faire un tour dans la
foulée.
Ne disposant pas de beaucoup de temps cet après-midi là, je jette mon dévolu sur la galerie de la Lionne,
qui a l’air de se trouver à proximité d’un accès routier.
La localisation donnée par les coordonnées :

Parfait, d’après la carte il y a bien une barre rocheuse, orientée Est voire Nord-Est sur sa partie Nord, c’est
à proximité de l’Adret de la Lionne, je n’ai plus qu’à me rendre à Teyssières, me garer aux Vabres,
rejoindre le pied de la falaise, et en le suivant sur sa totalité, je vais bien tomber sur l’entrée de cette
fameuse galerie de la Lionne !
Me voilà partie. Aux Vabres, il y a une ferme, gardée par un chien qui m’accueille par ses aboiements. Je
suis un peu gênée car il n’y a pas de place pour se garer sauf à proximité immédiate de la ferme, et le
chien, attaché, continue d’aboyer. Heureusement il n’y a personne en vue, je n’ai pas bien envie
d’expliquer ce que je viens faire dans cet endroit pas particulièrement propice à la randonnée.
En tout cas, il y a bien une grande barre rocheuse qui me fait face, c’est déjà ça.

Je pensais me rapprocher de
la barre rocheuse grâce aux pointillés figurant sur la carte IGN, mais je dois bien vite me rendre à
l’évidence, pas de chemin. Je passe alors en mode aventurière, j’avance tant bien que mal au milieu des
arbustes secs, des buis, des ronces, et finis par arriver au pied de la falaise. Bon, le pied est lui aussi
complètement envahi par la végétation, je vais avoir du mal à longer la falaise. Je décide de me diriger
vers le Nord en jetant dès que possible un coup d’oeil au rocher. Je finis par remonter au Nord de la barre
rocheuse et en atteindre le haut. Le soleil m’accueille, la vue est belle, ça compense mes égratignures aux
jambes et aux mains.

Je continue alors vers le
sud, en direction de l’endroit pointé sur la carte. Il y a un peu moins de végétation, la progression est plus
facile. Il y a en fait deux barres rocheuses superposées, séparées par une vire que j’emprunte sur toute sa
longueur. Pas trace d’une quelconque ouverture. Quoiqu’un peu au-dessus de moi, dans la falaise, il y a
bien un renfoncement, mais inatteignable pour moi).

Je reviens sur mes pas, je suis maintenant quasi au niveau du point, toujours rien. Tant pis, il va falloir que je
songe à redescendre maintenant. Je continue alors au mieux en direction du Sud, dans l’optique d’arriver
au ravin du Cougoir et de le suivre jusqu’à la voiture. Ça passe à peu près, encore un peu de bataille avec
la végétation dans le ravin, mais je finis par arriver à la voiture, où je suis accueillie par le chien cette fois
en liberté (très gentil) et son maître. Ce dernier est un peu surpris de me voir là et me demande d’où je
viens. Je reste un peu vague mais comme il a envie d’en savoir plus, je lui parle de la galerie que je
recherche. Il est très perplexe, il habitait déjà là en 1970 et n’a jamais entendu parler de cavité dans ce
genre…
Bon bon, je ne suis pas très avancée. Longer tout le pied de la falaise s’avérerait bien compliqué avec
cette végétation. Est-ce que la galerie pourrait se trouver dans le renfoncement aperçu ? En relisant mes
notes, je vois qu’il était question d’une galerie DANS la face Nord-Est, alors peut-être. Sauf que la face

est plutôt Est. Sur la carte IGN, un peu plus au Sud, il y a d’autres barres, orientées elles Nord-Est, peut-
être qu’il faudrait chercher plutôt par là bas. Ou alors remonter le ravin du Cougoir qui est en contrebas de

l’Adret de la Lionne ?
Pour aujourd’hui, j’ai eu mon compte en tout cas…

Emilie.

Sortie Fontaine de Champclos à Naves aux Vans du Samedi 26 février 2022

  • Participants :
    • Philippe
    • Maxime
    • Arnaud
    • Pierre JL
    • Alexandre
    • Leïla
  • TPST : 3h30

La journée commence tranquillement avec un rendez-vous à 10h00 à Lanas chez Philippe. Nous prenons le temps de boire un café et de se régaler avec les viennoiseries amenées par Pierre. Le fils de Philippe, Maxime, nous rejoint, l’équipe est complète. C’est partis pour le hameau de Naves !!

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