Compte rendu de la 51ème séance à l’aven de la Poule Rousse du dimanche 8 décembre 2024

Compte rendu d’Olivier :

Avec Michel, Florian et moi nous avons escaladé la coulée située vers -30. Nous avions 10 Pulses.

Je pars en tête, Florian m’assure, Michel fait les photos. Je grimpe 10 m et je pose la corde de rappel pour récupérer mes pulses. Une fois regroupé, je remonte encore 10 m environ. Le plafond est se ferme totalement mais il y a une petite lucarne ou je pénètre. Il y a 5 m à monter en libre tant la cheminée est étroite et pour moi se pence.

J’équipe la corde de descente afin de pouvoir remonter faire la topo. Attention ça frotte dur.

Belle escalade, je suis content !!

Environ 4 heures TPST.


CR de Marcel et Gérard

Nous commençons la descente jusqu’à -100 m à 9 h 50 ce dimanche 8 décembre.

Le trou est sec. Arrivés à – 30 m, nous récupérons la ligne électrique qui remonte dans le méandre jusqu’à la salle découverte la semaine dernière. Mais comme elle est attachée dans la salle, il faut aller jusqu’à celle-ci en rampant dans le méandre. Nous récupérons aussi un bout de ligne de tir, car au fond la ligne commence à être un peu trop courte.

En arrivant à – 100 m (estimé car pas de topo faite), nous nous débarrassons de nos instrument de progression verticale pour être plus à l’aise dans le méandre terminal.

Au fond du méandre, il y a toujours un peu d’eau qui circule, alors que le puits par lequel nous arrivons est sec. Il y a donc un amont à ce méandre, mais il est impénétrable.

Marcel commence le dégagement du tir de la dernière fois. Les trous à gauche n’ont que partiellement fonctionné. Trop de matière prise pour casser le virage à 90°gauche.

La difficulté du jour est que nous ne sommes que deux. Le méandre fait 5 m de long jusqu’aux gravats. Il fait aussi 50 à 60 cm de largeur pour 1 m de hauteur, mais le sol est remplis de gravats. Nous avons un bac que nous tirons avec une corde. Mais dans le méandre le bac s’accroche sur des aspérités, ce qui oblige Marcel à se retourner pour envoyer le bac et le pousser, et à Gérard de passer la lucarne d’accès au méandre, de tirer le bac, de sortir de la lucarne, de tirer le bac, de le porter au pied du puits et le vider. Pour les blocs ne rentrant pas dans le bac, c’est pareil.

Les manœuvres sont rendus encore plus difficile avec l’engagement du perfo.

Tout est nettoyé vers midi, nous avons sorti l’équivalent de 20 bacs. Nous prenons la pause casse croûte. Celle-ci est rapide et nous allons maintenant percer des trous pour le prochain tir.

Derrière le virage, nous voyons une longueur estimé à 5 m. Cette partie du méandre est encombrée de banquettes de glaise, Pas loin de nous il y a même un pont de glaise en travers du méandre.

Le plafond reste à l’horizontal, tandis que le fond du méandre, très propre mais étroit, descend. Il y a de l’eau qui coule au fond. C’est plus grand en hauteur et au bout de ce que nous voyons c’est plus spacieux, un nouveau virage ? Il semble y avoir de l’écho, mais nous ne sommes pas sûr, car les cris se réverbèrent dans le puits derrière nous.

Nous perçons 6 trous, 3 dans le virage et 3 dans la continuité du méandre, 2 à droite et 1 à gauche.

Nous remontons en surface sans oublier de faire partir les charges depuis le haut du puits de 25 m.

A – 30 m, il y a du monde dans le puits étroits de 10 m. C’est l’équipe qui est allé faire l’escalade dans la salle découverte il y a une semaine. De la salle il y a encore 2 personnes qui reviennent (Leila et Alex), ce sont eux qui sortiront en dernier. Nous sortons à 15 h 15.

La prochaine sortie est prévue le lundi 16 décembre. En espérant qu’une 3ème personne veuille bien aller au fond.

Une pensée pour Thierry, qui a passé une bonne partie de sa semaine à l’hôpital. En espérant le revoir très bientôt.

Compte rendu de la 50ème sortie à l’aven de la Poule Rousse du dimanche 1er décembre 2024.

50ème séance à la Poule Rousse, en1 an et demi c’est pas mal ! En plus une première est en vue !

D’abord nuageuse la journée sera sous le signe du soleil, et c’est tant mieux, car il y a du monde et beaucoup vont rester en surface.

Les présents : Colette et Jean-Jacques, Janine et Pierrot, Gaby et Jacky, Claire et Gilles, Sylvane et Baba, Marcel, Dorian, Thierry, Jacques, Philippe, Charlotte, Ludwig, Jojo, Ghislaine et Gérard.

Dès 9 h, les premiers arrivent, sauf Ghislaine et Gérard, qui ont couchés sur place. Le gros des troupes sont là dans l’heure. Autour, il y a une battue, nous entendons les chiens tout près.

Pierrot a amené un panneau sur lequel il est marqué : 50ème sortie à la Poule Rousse. Première assurée !

A 10 h, nous nous répartissons pour les activités dans le trou : Dorian , Gilles et Gérard descendent à -30m pour buriner la lucarne qui empêche le passage pour une première dans une salle qui est en vue. Thierry et Marcel vont nettoyer les gravats qui sont sur le bord du P22.

Les trois premiers descendent de la gaine pour ventiler le méandre jusqu’à la lucarne. Une fois installée, Dorian attaque au burineur pour agrandir cette chatière. Les autres derrières, évacuent les gravats avec un bac que Gilles a amené. En plus d’une heure et demi de burinage, l’agrandissement n’est pas suffisant car la calcite devient plus dure.

Aussi Dorian perce des trous en 400 pour faire un tir, mais la faible épaisseur de la paroi fait que trois trous passent aux travers. Il arrive quand même à en remplir 3 autres avec des pailles. Nous reculons jusqu’au départ du méandre pour faire partir les charges. Au pied du P10, nous retrouvons Thierry et Marcel qui remontent en surface, il est 12 h 10.

Ils ont nettoyé les gravats en haut du P22, ils sont descendus jusqu’à l’escalade équipée au dessus du P9, ont changé la corde dans l’escalade. Puis plus bas au P25, Marcel a agrandi le départ du puits avec massette burin.

Nous retournons voir le résultat du tir, sans remonter mangé en surface, la première nous attend.

Mais le tir ne permet toujours pas de passer cette chatière. Il faut encore buriner. Gilles veut essayer de passer, mais ça coince encore. Un peu de burinage et enfin il passe. Dorian passe aussi. Un peu de burinage par l’autre coté permet à Gérard de venir aussi

La salle fait 2,5 de large et 6 m de long. En face une coulée de calcite ferme entièrement une suite possible. Cette coulée remonte sur plusieurs mètres. Il y a un départ dans la coulée à une dizaine de m du sol et un autre au sommet. Au dessus de la chatière,, il y a une autre cheminée et une autre aussi au milieu de la salle. Une petite flaque au pied de la coulée semble alimentée par le plafond et peut-être aussi par dessous la coulée.

La question est : est ce que la coulée a entièrement bouché une galerie dans son prolongement ou est ce que la coulée de calcite s’est constituée sur une paroi pleine ?

Après plusieurs photos nous prenons le chemin du retour en surface.

En arrivant au pied du P10, nous croisons Ludwig, Charlotte et Jojo qui descendent au fond. Au dessus il y a aussi Marcel et Thierry qui les accompagnent. Nous attendons qu’ils passent pour remonter. Nous arrivons en surface à 15 h . Et dessous Charlotte et Ludwig nous suivent. En bas du P22 Charlotte s’est sentie incommodée par le CO2, elle n’est pas bien.

En bas Jojo s’est arrêté à – 70 m, il estime que pour sa reprise de la spéléo, il a consenti assez d’effort. Seuls Marcel et Thierry vont à – 100m voir le résultat du dernier tir dans le méandre. Marcel estime à deux brouettes de gravats à sortir. Ils ressortent vers 16 h 30. Thierry est allé faire un tour pour aller voir la première en remontant. Il a encore agrandi la chatière, il a fait l’escalade au dessus de celle-ci et c’est bouché à 4 m. Il a aussi constaté des traces de végétaux au sol de cette salle, notamment des aiguilles de pin.

En surface Dorian récupère, il est sorti gazé. Charlotte s’est couchée pour se remettre.

Les tables sont encore remplis de papillotes et de gâteaux. Il faut maintenant ranger et remplir les véhicule. Un peu avant 17 h, Charlotte s’est levée, elle est encore bien blanche, mais elle a repris un peu des forces. Nous partons du site, avec une nouvelle date pour y revenir, ce sera dimanche prochain, le 8 décembre.

Rando au rocher du Turc

Profitant de la petite troupe dans la Vaucluse nous sommes allé faire une courte marche passant a travers l’abri sous roche du rocher du turc au somment des dentelles de Montmirail.

Notre itinaéraire: Depuis la mairie de Gigondas, empruntez la route goudronnée balisée en rouge et jaune. Au premier croisement, tournez à gauche sur le sentier bleu indiqué « Dentelles ». Après une montée d’environ 35 minutes, vous atteindrez le belvédère du Rocher du Midi. Profitez d’une vue à couper le souffle depuis la table d’orientation et détendez-vous sur les tables de pique-nique. Poursuivez votre randonnée en suivant le sentier bleu direction « accès crêtes ». Ce petit sentier escarpé vous offrira des panoramas encore plus grandioses avant de vous mener au Col du Cayron. Au col, prenez le chemin balisé en bleu en direction des dentelles, puis a vous de trouver le passage pour le rocher du Turc. Redescente face nord direct col du Cayron

Participants :

  • Franck
  • Charlotte
  • Ludwig

TPST 4h00

Spelimage 2024

Franck, Ludwig et Charlotte ont participer au spelimage 2024 à Courthézon

48me sortie à la Poule Rousse du lundi 18 novembre 2024

Belle journée ensoleillée pour cette 48ème séance à l’aven de la Poule Rousse. Malgré les blocages
des agriculteurs annoncés sur les routes, tout le monde arrive à son heure ( entre 9 h et 10 h, sauf
pour Ghislaine et Gérard qui ont couchés sur place avec leur fourgon).
Il y a Jean-Jacques, Jean Luc, Dorian, Marcel, Sylvane et Baba, Janine et Pierrot, Claire et Gilles,
Ghislaine et Gérard.
Les premiers à descendre sont Marcel et Gérard à 9 h 45, ils vont au fond ~ -100 m.
Ils sont suivis par Dorian et Gilles qui vont à – 35 m pour progresser dans le méandre remontant.
Jean Luc les rejoints pour leur donner un coup de main, puis descend au fond.
Au fond un peu de CO2, mais ça reste gérable. Les tirs de la semaine dernière ont bien marché, aussi il faut sortir les blocs qui obstruent le méandre terminal.
Entre le burinage des blocs et leur sortie à la base du puits, il faut toute la matinée à deux pour
tout nettoyer. 15 bacs de sortis plus des blocs trop gros pour le bac.
Mention spéciale pour le dernier bloc que nous n’arrivions pas à fendre.
Marcel l’a déchaussé pour le faire basculer et passé au dessus pour, par derrière, le pousser.
La nouvelle face présentée étant plus facile à buriner.
Nous arrivons à le faire rouler avec l’aide de Jean Luc qui vient d’arriver.
Dans le méandre, après le virage à gauche, nous voyons sur 3 m, avec des bans de glaise qui limitent la vue. Dans le fond du méandre, un peu d’eau coule toujours
Il est presque 13 h, nous attaquons le casse croûte. Un petit changement : l’air est plus frais et plus
respirable.
Nous attaquons le perçage du fond après les agapes. 5 trous dont 40X600 et 1 de 10X400. La ligne
de tir commence a être un peu courte, nous avons progressé de 2,50m.

Les trous remplis, nous remontons vers la surface. Signe qu’il y a de l’air qui circule, le tir,
commandé en haut du puits de 25 m, fait remonter rapidement du brouillard jusqu’à la cime du
puits !

A -35 m le matin, Dorian et Gilles ont progressé de 10 m supplémentaires dans le méandre, ils sont
arrivés dans un petite salle de 2 m d’où part une continuation dessous. Jean Luc a installé une prise
pour le téléphone en bas du puits de 10 m, ce qui permet de communiquer entre le fond ,
l’intermédiaire à -35 m et la surface. Ils ont descendu du grillage et du tissus épais en bas du puits
de 10 m. Dorian veut agrandir ce puits mais son perfo lui joue des tours , il ne peut faire qu’un trou
qu’il charge en attendant que l’équipe du fond remonte.
Dorian redescend l’après midi pour aider l’équipe du fond pour tirer les kits dans ce puits étroit….
Et aussi pour faire partir sa charge.
Mais la proximité du câble électrique, du fil de téléphone et de la gaine d’aération lui fait renoncer
à ce projet. Pour la prochaine sortie, il faudra retirer la gaine et descendre du tuyau d’arrosage fendu
pour y faire passer les différentes lignes en vue de les protéger du tir. Néanmoins le passage entre le
puits de 10 m et le puits suivants est bouché par le grillage et le tissu épais. Ce tir sera la première
chose à faire lors de la prochaine sortie à la Poule Rousse.
Les derniers sortis le sont vers 16 h 30.
Nous trions le matos et le rangeons dans les différents véhicules et nous regagnons nos domiciles.
La prochaine sortie est prévue le lundi 25 novembre.

CR de Dorian :

Date: 18/11/2024
Heure: 09:00
Lieu: Aven de la Poule rousse
TPST: 4 heure

Il est environ 9h quand j’arrive sur place, fatiguée des deux derniers jours de pêche mais
motivé pour allé sous terre !
Je rejoint Pierrot, Marcel et Gérard déjà arrivé sur place !
on discute un moment avec Gilles et l’on s’accorde a descendre ensemble a moin trente.
Mon objectif est de dynamitée ce fameux puits étroit, une nappe de gaz a cette endroit
lors de la dernière sortie m’a fait redoutée ce lieux maudit !
on suit la descente de Gégé et Marcel. Nous arrivons rapidement avec Gilles a moin
tente suivis du maître opérateur téléphone ! Jean Luc !
dès notre arrivée on coupera la gaine de ventilation pour nous donner de l’air, tout de
suite on respire mieux !
Je casse la roche pour faire des marches et escalader par dessus les concrétions, ce qui
soulagera peut être pierrot ?
le tir dans le tube a bien fonctionné, je fait tombé les gravas dans le micro ruisselet d’en
bas. Gilles vient alors explorer le lieux pendant que je perce des trous pour installer des
marches dans la cheminée remontante.
jean Luc nous installe une ligne téléphonique digne de ce non a -30 et par ensuite
rejoindre l’équipe du fond. Gilles reviens essoufflé par le gaz présent au fond du tube.
il commencera a percé le premier trou en 10×600 dans le puit maudit pendant que j’irai
explorer le tunnel ouvert et faire des photos jusqu’à la où je peut allé !
la 1ere batterie est vidé, on l’a remplace et gilles monte au relais, je continue une
deuxième trou, prend le temps de le charger et pété mon bouroire ! Mais quelle tare !!!
je perce une troisième trou et la batterie me lâche ! Mais bordem de me***…
on finit installer la ligne de tir pour le futur tir et remontaient a la surface vers 13h pour
manger avec l’équipe de surface !
Je descend un peut plus tard rejoindre l’équipe de fond a la remontée pour les assisté
dans leur démarche et profiter un peut de dessous la terre.

Canyon du Furon Bas

Participants :

  • Ludwig
  • Charlotte

Nous avons profité de notre visite sur Grenoble pour effectuer la descente du Furon bas par une température hivernale et une eu cristalline.

TPST 2 Heures

Mines de l’echaillon

Participants :

  • Claude
  • Ludwig
  • Charlotte

Claude nous a fait visiter la grotte mines de l’échallon.

Canyon du Rio Sourd

Participants:

  • Ludwig
  • Charlotte

Un petit tour dans le Diois, pour aller voir ce magnifique canyon du Rio Sourd.

TPST : 3 heures

Compte rendu de la sortie à la grotte de la Grange dans le ruisseau de Bayonne du samedi 24 août 2024.

Nous ne sommes pas retournés à la grotte de la Grange depuis l’été dernier. C’est une désob d’été, au bord du ruisseau de Bayonne sous une végétation dense et au frais.

C’est aussi au plus chaud que le courant d’air est le plus perceptible.

Le ruisseau faisant la limite des communes de St Priest et Freyssenet et le trou se trouvant en rive gauche, nous sommes sur la commune de St Priest.

Nous nous retrouvons au parking avant le pont à 8 h 30 ce samedi 24 août 2024. Nous sommes en équipe réduite, car nous sommes trois : Duduche et Maxime(ASP) et Gérard (MASC).

Rapidement nous descendons dans le ruisseau de Bayonne que nous remontons jusqu’à la grotte. Il y a pas mal d’eau pour une fin août et nous progressons dans des petites gorges calcaires constellées de bloc de basalte.

En arrivant au pied du chantier, nous constatons que l’eau sort toujours au pied de la grotte et qu’elle vient grossir (modestement!) le ruisseau de Bayonne.

Nous montons jusqu’à la grotte, il faut dégager l’entrée car la végétation a bien poussé.

A l’intérieur rien n’a bougé, le bac et les cordes pour le tirer sont toujours là. Il y a aussi une ligne de tir.

Nous allons tous au fond pour voir ou il faut attaquer. Le courant d’air est bien présent sur la gauche en arrivant. Nous sommes dans une diaclase perpendiculaire à celle de l’entrée.

Mais su ce coté gauche il y a un empilement de blocs qui semblent tenir la dalle du plafond. Il faudra probablement étayer avant d’entreprendre quoique ce soit.

Nous nous rabattons sur la diaclase d’entrée, elle fait 10 m de long et il y a un rétrécissement qui oblige à une reptation et qui coince le bac dans sa course.

Nous mettons deux pailles que nous tirons de l’extérieur. Cela ne fait pas plus de bruit qu’un pet de lapin ! La roche est tellement fracturée que le souffle a été absorbé par ces micro-fractures. Aussi une grosse séance de massette burin est nécessaire pour nettoyer le tir.

Duduche qui tire les bacs de l’extérieur reçoit un arbre sur la tête après avoir fait roulé un bloc dans la pente qui a entraîné cet arbre mort en le heurtant. Heureusement notre Verdussologue n’a pas de séquelles.

Une fois tout nettoyé, nous commençons à vider le fond ou la diaclase est la plus large. Il y a un amoncellement de restes de tir, et peut-être sous ce bouchon, il y a du vide qui nous éviterait de désober sur la gauche.

Après plusieurs bacs sortis, Duduche nous signale qu’une dalle plantée à l’entrée, gène pour vider les bacs. Nous ressortons, c’est Maxime qui perce et met une paille dans cette dernière. Rapidement , il n’y a plus de dalle !

Nous arrêtons là pour aujourd’hui, nous reprenons la descente du ruisseau et arrivons aux voitures à 11 h 45.