COMPTE RENDU DE LA JOURNEE DU SAMEDI 2 OCTOBRE 2021 ORGANISEE PAR LE M.A.S.C LORS DES JOURNEES NATIONALES DE SPELEOLOGIE

Dans le cadre des journées de la spéléologie et du canyon organisé tous les ans le premier week end d’octobre, le club spéléo de Montélimar, le M.A.S.C a organisé une visite d’une partie des réseaux de la Baume des Anges à Donzère.

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Journée Nationale de la Spéléologie 2021 une belle réussite

Cette journée d’initiation JNS organisé par le MASC, cette année encore est une belle réussite collective.

Nous avons eu :

  • 17 participants le matin (7adultes 4 Ado 5 Enfants / 6 Masculins et 11 féminines)
  • 14 participants l’après-midi (7adultes 1 Ado 5 Enfants / 7 Masculins et 7 féminines)
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Compte rendu de la sortie aux poulettes du samedi 25 septembre 2021

85ème sortie

Participants : Sylvane et Baba R, Jacky et Marcel C, Claire et Gilles M, Janine et Pierrot G, Gabi et Jacky S, Jean-Jacques A, Ghislaine et Gérard D.

Fin août, nous avons passé le cap des 4 ans de désobstruction aux Poulettes. Ce long boyau vertical que nous avons créé, n’a pas encore abouti. Mais l’espoir demeure! En langage “poulettes”, ça veut dire que si nous avons attaqué par le bec et que nous comptons sortir par l’anus, nous sommes encore dans l’œsophage !

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Le mousqueton Bleu

Cela fait maintenant quelques années que je n’ai plus pratiqué de spéléologie verticale,  c’est-à-dire celle, ou sans corde, tu ne peux pas descendre et remonter.  Mais cette chaude journée d’été indien accompagné de l’aven du Camelié me servira de chausse-pied pour cette reprise. 

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SORTIE DU SAMEDI 18 SEPTEMBRE A L’AVEN DE LA CHEVRE PERDUE

 Participants : Gilles M, Jean-Jacques A

Samedi
18 septembre après-midi avec Gilles nous sommes allés sur le bois du Laoul pour
récupérer une chèvre que nous avions laissée il y a quelques années sur la
désobstruction d’un départ d’aven repéré
au cours d’une de nos prospections sur le secteur. Ce départ se situe sur les
extrêmes amonts supposés du réseau de la grotte de Saint Marcel.

Nous
avons abandonné provisoirement cette désobstruction pour nous focaliser sur
celle des Poulettes.

Ne
voulant pas laisser cette ferraille rouiller dans le bois, nous nous sommes décidés à monter la récupérer. Oh surprise quand nous sommes arrivés sur place, elle avait disparu de sa cachette que peu de gens connaissaient. 

Après la
disparition de la plaque d’égout que nous devions mettre en place pour fermer
l’aven des Poulettes, elle aussi bien cachée, cela fait deux disparitions en peu
de temps.

Quelqu’un
en a-t-il besoin ou l’on cherche à nous nuire. Là est la question que l’on se
pose ?

 Jean-Jacques

 Photos
Gilles


Entrée de l’Aven

Direction de la galerie plein sud

COMPTE RENDU SORTIE GOUFFRE MARCO POLO 1ER SEPTEMBRE 2021

GOUFFRE MARCO POLO

01 septembre 2021

La Ruchère : Commune de Saint Christophe sur Guiers

Chartreuse-Isère

Participants :

Bertrand

Emilie

TPST : 4h30

Côte -95m

Situation :

Se garer à côté du « Gite à Rucher »

Prendre
le large chemin de terre partant à droite ( sentier balisé jaune)

Puis
suivre les quelques flèches oranges peintes sur les arbres jusqu’au trou qui
s’ouvre au pied d’une petite barre rocheuse au fond d’une doline.

Equipements :

Les
puits jusqu’au début du méandre des Sassenageois et départ de la galerie des
marmites ( corde en place pour l’escalade env 7m) côte -95m sur la topo .

Cordes :         140m au total ( une corde de 100m et
40m)

Amarrages :
27 / 1 Dév Jolie
enfilade de puits et ressauts de types « Alpins ». De belles formes
d’érosions caractéristiques des gouffres actifs.

Profitants
d’une belle journée ensoleillée nous avons décidés qu’il serait intéressant de
la passer sous terre…du moins en partie.

La zone
des puits est très agréable à descendre et il faut noter pas trop étroite pour
un trou de Chartreuse.

L’équipement
est gourmand en longueur de corde et en amarrages.

Notre
objectif était la visite de la galerie des marmites. Nous avons fait finalement
demi-tour en bas de la zone des puits après une brève visite à
l’extraordinairement long (mais beau) méandre des Sassenageois, et ce sur
claquement de dents de la téméraire « Drômoise »  Emilie testant les gouffres tropicaux
chartrousins.

Bertrand

 

COMPTE RENDU DE LA SORTIE DU 21 et 22 SEPTEMBRE A MEJANNES LE CLAP

 

Si nous autres spéléos n’avons pas de
problème particulier avec l’hygiène car appréciant le bonheur de la douche
après nous être vautrés dans la glaise, il semble que nos rapports avec l’Igéenne
soient eux quelque peu distendus. Même si on se doit de reconnaître que
l’institut géographique national a eu l’immense mérite de cartographier notre
beau pays de manière  précise et détaillée,
les fameuses cartes Ign ne sont pas exemptes d’erreurs, notamment en ce qui
concerne la localisation des cavités. En témoigne le récit qui suit :

Week-end Méjannes le Clap

Participants :
Alex L ; Leila D ; Jean-Luc P; Michel C ; Philippe H ;
Bertrand V; Emilie B

 Partis de bonne heure de
Montélimar afin de déjouer les bouchons, nous nous retrouvons avec Jean-Luc sur
le parking de Tharaux bien avant l’heure du rendez-vous fixé par Alex et nous
profitons de notre heure et demie d’avance dans un lieu fort sympathique mais
dépourvu de bistrot pour tenter de repérer l’entrée de l’aven Grégoire, qui
figure à notre programme du lendemain. Cette reconnaissance ne devrait être
qu’une formalité car le trou en question est pointé sur l’appli iPhiGéNie. Nous
voici donc sur la piste d’accès et bientôt devant un cairn qui semble être de
bon augure. Après une centaine de mètres, la petite flèche rouge s’aligne
parfaitement sur le point noir ; mais pas l’ombre d’une doline à
l’horizon ! Le sentier, lui, continue ; mais faute d’avoir pris le
topo avec nous, nous décidons de nous épargner une montée aux résultats
incertains et d’orienter notre recherche sur le débouché de la traversée,
c’est-à-dire la grotte des Fées. Changement de cap donc et quelques péripéties
plus tard, et notamment la rencontre d’un autochtone nous dissuadant de
franchir une barrière déjà bien malmenée, nous faisons face aux fameux porches
de sortie du réseau. Seulement voilà, entre 
eux et nous, il y a la Cèze et, si le franchissement d’un cours d’eau débonnaire,
quoique de qualité douteuse, ne constitue pas un problème insurmontable,
l’heure tourne et il est temps de retourner au parking où nous rejoignent
bientôt, Alex, Leila et Philippe. Après salutations courtoises et dégustation
de quelques viennoiseries, nous voici en route vers notre objectif du
jour : l’aven des Oublis. Convaincu pour ma part que si l’Igéhenne a pu se
tromper une fois, elle ne nous trahira pas une deuxième et épaulé par Leila,
qui confirme avec Google Map, je me dirige donc résolument vers l’aven en question.
Un sentier se dessine bientôt ; nous sommes près du but. Seulement
voilà ; après avoir joué  les
sangliers au-dessus et au-dessous du dit sentier, il faut se rendre à
l’évidence : Cépala ! Heureusement, Alex a eu la bonne idée
d’emporter le plan d’accès, vieux  d’une
quarantaine d’années mais visiblement toujours d’actualité. Nous voici donc à
compter nos pas sur une piste à la perpendiculaire de la première. Mais quand
on a l’œil rivé sur ses chaussures, on néglige les bas-côtés et c’est
finalement Philippe qui nous sauvera de l’errance au sein d’une garrigue
inondée de chaleur, en repérant le cairn tant espéré  qui nous mène à  l’entrée convoitée, d’où  nous parvient une délicieuse fraîcheur. De la
dite entrée et de mon dernier passage en ces lieux, qui remonte à une trentaine
d’années, je n’ai d’ailleurs aucun souvenir …  le nom de l’aven y étant sans doute pour
quelque chose ! Les mauvaises langues diront que… Bref ; tout le
monde n’a pas la légendaire mémoire visuelle de Jean-Jacques ! Toujours
est-il que la descente dans cet aven, profond d’une bonne soixantaine de mètres
et dont les puits sont abondamment brochés, ne nous décevra pas.  J’aurai même quelques réminiscences d’un
lointain passé lors du franchissement du plancher stalagmitique, dont j’ai
gardé quelques images ; Alex retrouvera son bloqueur de pied (encore)
perdu et nous nous réjouirons tous des décors somptueux que nous offre la
grande salle.

En fin d’après-midi, retrouvailles
avec Bertrand et Emilie ; cap sur un lieu où le bivouac paraît plus
envisageable que sur des bords de Cèze à priori peu accueillants, c’est à dire
le plateau de Méjannes. Repas partagé dans la bonne humeur et l’absorption de
breuvages divers, dédié aux petits producteurs locaux (un peu de pub pour
Emilie et sa remarquable collection de pains !). Nuit bercée par les
basses que diffuse généreusement une boîte de nuit voisine ; réveil et
p’tit dej échelonnés sur une paire d’heures : Elle est pas belle la
vie !

Mais déjà des dissensions se font jour
: UTM dispute le terrain à Lambert 93 qui lui-même rivalise avec Lambert 2
étendu. Foin de ces considérations techniques ; le mieux est d’aller voir
sur place !  Tharaux again donc, puis prospection à vide pour trouver
finalement l’entrée de l’aven Grégoire, quelques 300m au-dessus du point
atteint la veille : La marge d’erreur de l’IlsseGêNentpas pour
 l’aven des Oublis était de 500m.
Quelques considérations suivent sur la meilleure manière d’équiper le vaste
entonnoir que nous surplombons, interrompues bientôt par les impératifs de la
recherche des fameuses Fées. Une randonneuse croisée sur le chemin nous avait
pourtant malicieusement fait remarquer que c’était inutile de les chercher
puisque nous en avions deux avec nous. Mais les spéléos sont des gens têtus,
toujours en quête d’absolu… De ce côté-là donc, après un parcours d’obstacles
sur les dalles creusées qui bordent la rivière en rive droite et la mise à
l’eau d’Alex, nous ne sommes guère plus avancés que la veille. Nous remontons donc
au parking où un échange sur la stratégie à suivre s’impose. Nous approchons de
midi ; si nous avons échappé au gonflage collectif de l’embarcation qui ne
tentait pas grand monde, ni la perspective d’équiper l’aven en fixe, ni celle
de tenter le bain de minuit dans le lac Lombard ne semblent faire consensus.
Dans ces conditions, il se révèle plus sage de changer carrément
d’objectif…et c’est finalement Armédia qui s’impose !

Pas de conflit avec l’IGN cette
fois-ci ; la cavité n’apparaît pas sur la carte. Mais nos mémoires
rassemblées nous amèneront sans problème aux portes de cette Mecque des
spéléos locaux; d’aucuns préféreront parler de Chapelle Sixtine, on ne va
pas chipoter ! Alex se chargera de l’équipement du redoutable puits en
colimaçon. Nous le suivrons l’un après l’autre, formant une file bien étirée,
ralentie par  les digestions paresseuses
ou les velléités de sieste. Nous retrouverons tous nos esprits parvenus au fond
de ce splendide aven et nous nous recueillerons religieusement au sein de cet
espace grandiose où les fantaisies minérales défient l’entendement humain et
stimulent l’imagination. Mais il est temps de quitter ce monde merveilleux, par
le biais d’une remontée singulièrement chaotique pour plusieurs d’entre nous
(Je me suis personnellement offert quelques séances de tricotage intensif, les
effets de l’âge annulant sans doute en partie les acquis de l’expérience).
C’est finalement la benjamine Emilie qui sort la plus guillerette de l’épreuve,
tout portant à croire qu’elle est tombée dans la marmite spéléo quand elle
était petite. Déséquipement courageux aux bons soins de Philippe, assisté par
Bertrand.

Après le traditionnel coup de fil
à Jean-Jacques et le partage de la tarte qu’il nous a gentiment fait parvenir,
chacun regagne ses pénates, pleinement satisfait de ce week-end, même s’il a un
goût d’inachevé. Merci en tout cas à la fée Leila, à l’origine de ce week-end
enchanté et …

                                                                              Aventure à suivre, dans un prochain épisode !

                                                                                                          Michel

SPELEO UTILITAIRE GALERIE DRAINANTE PLATEAU DE GERY A MONTELIMAR LE MARDI 10 et MERCREDI 11 AOUT 2021

Participants. Mardi : Gilles
M, Patrick M

                       Mercredi : Patrick
M, Serge A, Jean-Jacques A

 Cela faisait quelques temps que la
propriétaire de cette maison située sur le plateau de Géry nous avait appelés pour
savoir si nous pourrions reprendre l’exploration de sa galerie drainante.

En effet depuis quelques temps seul un
filet d’eau arrivait à la fontaine et dans le bassin. Nous avions déjà fait
quelques travaux dans cette galerie : reprise du regard et changement du
tuyau au pied de la fontaine, installation d’un tuyau sur le fond de la galerie
en amont d’un effondrement qui a créé un barrage et quelques autres
aménagements.

Là cela semblait plus important, après
en avoir parlé avec la propriétaire une solution lui sera proposé, c’est de faire
venir un artisan avec un camion muni d’un puissant furet à pression. Ce qui fut
fait, mais la tête du furet s’arrêtait à une quinzaine de mètres depuis le
regard situé dehors à côté de la fontaine.

Patrick et Gilles ont entrepris de
creuser à cette distance dans le sol de la galerie afin de retrouver le tuyau
en fibrociment Bien leur en a pris, arrivé sur celui-ci il y avait une cassure
et les racines avaient presque complètement bouché celui-ci. Le lendemain
Serge, Patrick et Jean-Jacques sont revenus pour poser un regard sur la cassure
et retirer les racines. Depuis il y a un peu plus d’eau qui alimente la
fontaine et le grand bassin situé devant la maison où nage des carpes
d’ornement.

Pour
l’équipe.

Jean-Jacques

Photos
J.J.



   

SORTIE DIMANCHE 8 AOUT 2021 TRAVERSE ORTOVOX / TROU QUI SOUFLE A MEAUDRE

PARTICIPANTS :
Emilie B, Claude B, Alexandre L, Bertrand V, Olivier S

Il paraît que pour sa première sortie club,
on doit se charger du compte-rendu… Soit, j’accepte la mission.

Troisième sortie
spéléo pour moi, et après deux petites sorties en Chartreuse, direction le
Vercors et plus précisément Méaudre. Après une journée de pluie non-stop hier,
le soleil est revenu, ouf. Partie de Chartreuse avec Bertrand, nous retrouvons
vers 10h30 les trois Drômois qui prennent le soleil en terrasse.

La traversée du
jour, Ortovox -> trou qui souffle, a été déjà parcourue par Claude et
Bertrand, on part donc serein. Certes, c’était il y a longtemps pour les deux et certes
Claude semble confondre sa droite et sa gauche, mais on a une topo de quatre
lignes, (presque) pas de souci donc.

Olivier et Claude partent équiper la
sortie du trou qui souffle pour le retour, tandis que nous continuons à nous
habiller et casser une petite croûte histoire de ne pas emporter le pique-nique
dans la traversée. A 11h30 nous sommes devant l’entrée d’Ortovox. Deux spits
son
t présents à
l’entrée mais sur un rocher qui semble prêt à se détacher à tout moment. On
préfère donc faire un petit pas de désescalade pour rejoindre la main courante
qui mène au premier puits de 8 mètres. Il s’agit en
réalité d’un toboggan boueux étroit où on se laisse glisser avec style sur les
fesses. La suite consiste en un premier méandre étroit, jusqu’à arriver au P4,
qui se descend par un rappel sympathique en fil d’araignée. On range ensuite les
descendeurs qui ne devraient plus servir d’après le topo. On commence à
entendre des bruits d’eau, on doit en effet se rapprocher du P30
que l’on est censés contourner. Nous
arrivons effectivement à un puits. Moment de doute, le puits ne fait pas 30 mètres
et il n’y a pas a priori d’autre choix que d’y descendre. Ni Bertrand, ni
Claude ne se souviennent de ce début de traversée, ils descendent tous les deux
en rappel pour aller explorer la suite. Bertrand part à gauche en suivant une
main courante, tandis que Claude part à droite. La branche de gauche arrive au
fameux P30 dont le fond est inondé, et la branche de droite est notre chemin.
Ouf, on peut d
onc descendre et rappeler la corde.
Re-méandre étroit, un peu plus humide, on se contorsionne. Petit pas d’escalade
également humide, facilité par un amas de cailloux empilés qui sert de
marchepieds. On continue et on finit par rejoindre le fond de l’entrée du trou
qui souffle où nous attend notre corde. Déjà ? La traversée a été plus rapide
que prévu. On en profite donc pour faire un peu de rab et emprunter un petit
parcours en boucle. D’aucuns diront qu’il comportait plusieurs étroitures.
Personnellement je n’en ai pas vu ;-)…

Nous voilà de retour à notre corde, il
commence à faire un peu froid. Heureusement le soleil n’est pas loin. Mais
c’est sans compter Alex qui s’aperçoit qu’il ne trouve plus son bloqueur de
pied… Bertrand se dévoue pour revenir sur nos pas, et comme on est solidaires
on l’attend au frais. Il revient malheureusement bredouille. Pour la sortie,
certains emprunteront une échelle métallique installée là, tandis que c’est
l’occasion pour moi de m’entraîner à la remontée sur corde. Pas mécontente de
retrouver le soleil…

Au final, une sortie très ludique, un peu
courte à notre goût, mais cela nous permet de profiter du soleil si peu présent
ces derniers temps en montagne.

Vivement la prochaine sortie ! C’est que
c’est vite addictif ces crapahutages sous terre :-)…

 Emilie

COMPTE RENDU DE SORTIE CREUX DE LA BOSSE DU MARDI 03 AOÛT 2021

216 Ième SORTIE DANS LES COULMES (en 15 ans)

DESTINATION : CLOS DE LA BOSSE.

PARTICIPANTS : LES 2 SORET. (GABY ET JACKY) BERNARD ET MADELEINE. LES GARCIN. GERARD
DURAND avec J.J AUDOUARD + GILLES. (Équipe du MASC de l’aven des Poulettes)
FREDO POGGIA ET FRANCOISE. JANÔT BRUN ET SA FEMME FREDE. VISITE DE JP VINCENT

BUT : REMONTER DES BACS VENANT DU FOND POUR ECLAIRCIR LA SUITE ?

METEO : BIEN MOYENNE PLUIE EN FIN DE JOURNEE.

Nous partons de Romans avec les Soret, il est 7 H 45 et le
ciel bien gris comme dabe depuis que l’été a commencé. On s’arrête à Saint
Romans pour acheter du pain, des croissants et des gâteaux. 
Nous arrivons les
premiers au Clos et préparons la journée car nous serons 14 aujourd’hui sur
zone ! Le terrain est encore bien humide. L’équipe d’Ardèche vient en
soutien vers 09H. Comme le temps reste incertain, la météo nous annonce la
pluie en fin de journée, nous descendons vite au fond du trou pour remplir des
bacs, pendant que nos femmes s’occupent des activités de surface avec Bernard
et Madeleine. La grue fonctionne bien et les remontées seront nombreuses ce
matin. En s’échelonnant dans la trémie nous expédions rapidement les navettes
en surface,
6 bacs ce matin en 2 H
15 ! Il faut dire
qu’avec Gérard au fond et Gilles au-dessus, ça déménage.
Les déblais sont encore très humides, beaucoup de cailloutis. On descend
d’environ 0,80 M sous l’échelle qui devient trop courte. Les Bruns sont arrivés
entre temps avec aussi les Poggia, on est 13 pour manger, belle ambiance
puisque j’ai décidé de fêter mon anniversaire en différé (c’était le 28
juillet !) les bouteilles ne se comptent plus sur la table, il y aura
aussi des gâteaux et la clairette, c’est ballot car il nous manque notre doyen
J. Louis Bret qui lui nous offre depuis plus de 200 sorties un gâteau à chaque
fois, son absence me perturbe un peu aujourd’hui. J’avais acheté une bouteille
de rosé de Provence,
terroir du Clos
marqué sur l’étiquette, c’était bien le lieu pour la boire ! Nous
reprenons le travail vers 14 H 20 bien rassasiés pour évacuer le reste des
blocs. Je passe au fond avec Frédo, nous remplissons encore 3 bacs,
soit 9 bacs au total. La largeur du
fond reste toujours de 80 cm, on est bien plus bas que l’étayage en bois sous
le gros bloc et l’on a creusé un peu trop sous le bas de l’échelle, du coup
elle devient trop courte (manque 1 M) J’amènerai une autre, plus longue. Il
faudra bien sûr prévoir de positionner d’autres glissières verticales avec
étais courts. Le C/A était bien sensible malgré l’atmosphère humide de dehors
et la température en baisse 15°. La prochaine sortie sera donc plus technique.
Heureusement que nous étions nombreux pour dégrossir le terminus. La pluie
vient troubler la fête vers 16 H, ce qui nous incite à remonter. Déjà là-haut
tout est plié, grue, câbles etc.
TPST 5
H
Nos femmes sont bien couvertes vue la fraîcheur survenue (12°) et du coup
nous goûtons la tarte aux pommes et finissons les boissons. (Reste 5 bouteilles
dans la glacière) Tout est rangé ici avant de partir, les copains d’Ardèche
partent en premier vue la distance. Nous avons eu la visite du garde, il nous
rappelle d’afficher les laisser-passer sous le parebrise, bon rapport sinon
avec lui, je lui enverrai un CR de l’année en cours. Nous avons eu la visite de
JP Vincent que j’avais sollicité, il est resté peu de temps mais nous avons
tous aimé le revoir sur le terrain, surtout Gérard ancien collègue de travail.

P. Garcin