Formation débutant – TROU DU CHAT

  • Date : Samedi 18 Février 
  • Participants : Charlotte L, Rita C, Arnaud M, Dorian M, Constance L, Nadine C, Eric S, Daniel M, Florence T
  • TPST : 5h30
  • Lieu : Trou du Chat 

Le rendez-vous étant à 9h30 sur place le samedi, au dernier moment je prends mon van pour dormir sur place avec Rita et Arnaud. 

Le matin même, nous voyons tout le monde arriver à 9h00. Il faudra que je prenne 5 min pour leur expliquer que moi je suis sans cesse en retard et que l’avance de 30 min ne m’arrange pas !! 

Donc je les accueille en faisant ma vaisselle de la veille, et je m’active pour accompagner Arnaud équiper pendant que tous nos débutants font révisions de nœud et des gestes de sécu avec Rita. 

Le but de la journée est de « finir » leur formation, et donc de faire une dernière sortie avant que JJA valide notre boulot. Pour moi, avec les différentes journées auxquelles ils ont participé, ils sont parfaitement capables de se débrouiller. Donc je pars dans l’idée que ne m’occupe pas d’eux. S’ils ont besoin d’aide, nous ne sommes pas très loin et nous gardons un œil sur eux, mais je ne leur indiquerais pas quoi faire. S’ils se retrouvent dans des positions inconfortables, ou s’emmêlent les pinceaux, je leur demande de rester en sécurité mais de réfléchir d’eux même. Ils savent faire. A mes eux, c’est quand on est dans la merde, qu’on apprend le mieux. Faites des erreurs, et justement, retrouvez-vous dans emmêlé dans la corde ! Tant que vous me trouvez une solution en restant accroché aux cordes. 

Donc nous descendons à 10h sous terre avec Arnaud, et les débutant nous rejoignent à 11h. Ce qui fait que nous étions quasiment au fond quand ils arrivent à nous. Pas de bouchons, ni d’attente. 

Nous touchons le fond à 12h, et prenons le temps de manger. 

A 13h, on décide de remonter. Nadine part devant moi. Nous sortons vers avant 14h, et attendons Florence. Ne la voyant pas arriver, Dorian et moi repartons sous terre voir où ils en sont. Elle remonte à son rythme. Vers 15h30, nous sommes tous dehors sous le soleil. 

Je suis ravie, car je les ai balancé dans le puits de 40m de profondeur, et personne n’a eu besoin d’aide. Ils se sont tous gérés et en sécurité. 

Pour finir cette journée en beauté, nous avons décidé de prendre un dernier verre à fontaine de Vaucluse. Encore merci à Nicolas pour sa tournée fois 2 !! 

C’est avec une glace gigantesque que je fini la journée, et rentre tranquillement à ma petite maison… 

Charlotte

Plantation de Spit à la BDA

  • Date : Jeudi 16 Février 2023
  • Participants : Jean-Luc P, Jean-Jacques A, Charlotte L
  • TPST : 3h
  • Lieu : Baume des Anges 

Nous nous donnons rendez-vous au petit parking juste avant le pont du Robinet à 14h00. Comme à mon habitude, je suis la dernière arrivée, car mon cerveau n’arrive pas à calculer les minutes correctement. 

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Peyrejal : et encore une madeleine, une !

Sortie du 05/02/23

Quand on avance en âge, on apprécie les madeleines, ces moments privilégiés où l’on retrouve le
« temps perdu » et les saveurs de sa jeunesse. Je n’ai donc pas hésité une seconde à rejoindre
Bertrand et Emilie, ainsi qu’Arnaud, benjamin du Club mais déjà bien aguerri, sur le parking de
l’aven de la Cocalière. Ils ont visiblement bien supporté le bivouac « hivernal» pour lequel j’avais
botté en touche, à tort probablement : La température est toujours restée largement positive en cours
de nuit et lorsque j’arrive, le soleil inonde la clairière abritant leur campement alors que le mistral
épargne miraculeusement ce coin d’Ardèche méridionale.
Sitôt l’équipement spéléo et ciné réparti dans les kits, nous prenons le chemin de l’entrée artificielle
du réseau de la Cocalière. Nous voici bientôt sur les lieux, devant une grille de bon aloi ayant
remplacé avantageusement la plaque rouillée originelle. C’est Emilie (en avant les filles!) qui se
porte volontaire pour équiper. Elle s’acquittera au mieux de sa mission, délicate car on a affaire à un
itinéraire de descente pas forcément évident, succession de ressauts plutôt que véritable puits, et à
un équipement en place dont la profusion provoque embarras dans les choix. En fait, il y a plusieurs
variantes possibles et celle qu’Emilie choisit, même si elle est gourmande en corde et amarrages, a
l’avantage de nous offrir un max de sécurité. Je serais en tout cas bien en peine de l’aider en
convoquant des souvenirs vieux d’ il y a 30 ou 40 ans….50 ? non, peut-être pas quand même ; mais à
l’époque, je ne prenais pas de note, faisant confiance à une mémoire qui m’a trahi jusqu’à en oublier
la localisation de l’entrée. Je suis d’ailleurs désormais surpris par l’amplitude de la galerie dans
laquelle nous parvenons, suite logique des grands porches d’entrée et de sortie du réseau, qui
contraste avec l’entrée resserrée et la faillle exigüe qui lui fait suite…et je découvre bientôt ma
première madeleine, cet enchâssement de gours magnifiques aux bords délicatement ouvragés
recouverts d’un voile aquatique translucide. Bref, sétrébo et il s’avère que j’ ai gardé une vision
particulièrement précise de cet endroit magique, sous la forme d’un cliché grand format en noir et
blanc tiré artisanalement par mes soins, exposé naguère et entreposé depuis dans un quelconque
placard, preuve irréfutable que si les humains passent, la nature elle demeure.
Mais aujourd’hui la machine à filmer s’est mise en branle sous la direction bienveillante de
Bertrand, assisté par Emilie. Nous effectuons de bonne grâce une série d’ allers-retours dans cette
vaste galerie très photogénique, sous l’éclairage de spots judicieusement disposés : Ca vaut bien une
montée des marches, sauf que là c’est le cadre qui prime ; en tout cas les acteurs ne se lassent pas de
le contempler à chacun de leurs passages. Pensée émue à mes années super 8, celles où
j’immortalisais entre autres la descente dans la grande salle de l’aven de la Salamandre, assisté de
mes camarades du Masc qui géraient courageusement le groupe électrogène. Mais aujourd’hui, je
fais totalement confiance à nos deux cinéastes, rompus à l’exercice et familiers des évolutions
technologiques.
Après une série de champs et de contrechamps, le besoin de se dégourdir les jambes, stimulé par
nos velléités exploratrices, nous pousse vers la suite de la galerie et nous prenons naturellement la
direction du réseau Mathieu . Un premier ressaut nous fait hésiter. Je retrouve ma fougue d’antan en
le désescaladant, non s’en m’être assuré, l’expérience aidant, que la remontée s’avèrera possible sans
l’aide d’autrui. Nous franchissons donc l’obstacle à tour de rôle et empruntons ensuite ce qui semble
être la galerie principale, en tout cas la plus active, délaissant des embranchements qui parfois
rejoignent l’axe initial. Après une bonne demi-heure d’explo, nous trouvant sans doute très proches
de la voûte mouillante indiquée sur la topo, nous décidons d’un commun accord de faire demi-tour.
Nous éviterons de tomber dans la Souricière que peut constituer ce réseau quelque peu
labyrinthique, mais il faudra bien nos quatre mémoires conjuguées pour finalement retrouver nos
sacs et pouvoir ainsi ingérer quelques remontants allant du sandwich sans garniture, arrosé toutefois
d’une boisson énergisante, aux tranches de saumon fumé, souvenir festif.
Comme nous nous trouvons fort opportunément à l’embranchement du réseau de Sauvas, nous
nous engageons résolument dans ce réseau mythique et, quelques laisses d’eau et lits de gravier plus
tard, nous nous retrouvons à l’entrée des fameuses conduites forcées, où je me dois de déguster ma
deuxième madeleine, m’appuyant sur un souvenir que je ne saurais qualifier de réel ou d’inventé,

tellement les « tubes de Sauvas », photographiés à de multiples reprises, font partie de l’imaginaire
de la communauté spéléo toute entière. En tout cas, la caméra de Bertrand les immortalisera une
fois de plus tandis que nous les parcourrons dans les deux sens pour notre plus grand plaisir,
impressionnés par les liens que ces conduits on ne peut plus naturels entretiennent avec les buses
bétonnées conçues par les hommes et confortés ainsi dans l’idée que notre espèce est profondément
ancrée dans notre terre-mère. Mais trêve de philosophie ! Il est temps de clore le film devant l’entrée
du siphon menant quelques kilomètres plus loin à la goule de Sauvas. Conclusion très simple, sans
fioriture ; comme le sont les films de Bertrand, c’est pour cela qu’il nous embarque si aisément dans
ses aventures : « Au revoir les amis, à la prochaine ! »
Mon récit, lui, se poursuivra un peu ; Arnaud se chargera sans problème du déséquipement . Je
l’attendrai régulièrement savourant chaque instant de cette remontée, depuis le centre de la terre
(enfin presque!) jusqu’au monde des vivants : ceux-ci n’ont d’ailleurs pas hésité à nous fermer
facétieusement la grille au nez et à remonter la corde du dernier ressaut. « M’en fiche ; suis cap de
remonter en libre ! ». D’ailleurs, la corde réapparaît bien vite et la grille se soulève, nous permettant
de nous retrouver tous les quatre à la sortie du trou, heureux de cette escapade de 5-6h dans le
monde des ténèbres.
Ma troisième madeleine sera plus récente, car datée d’un an et demi, et elle prendra la forme d’une
part de brioche préparée et offerte généreusement par Emilie et dont j’ai retrouvé agréablement la
saveur.
Quant à la madeleine en chef, celle qui coiffe toutes les autres, elle est constituée sans doute par ce
« temps retrouvé », cette immersion l’espace d’un dimanche au sein de cette garrigue ardéchoise
parcourue de ruisseaux souvent asséchés qui s’enfoncent dans la roche pour réapparaître
mystérieusement, ce décor donc qui servit de cadre à mon enfance, puis à mon adolescence, et
suscita mes premières aventures souterraines. Mais ceci est une autre histoire…passée et je remercie
donc Bertrand et Emilie d ‘avoir rafraîchi mon disque dur et d’y avoir intégré un beau souvenir tout
neuf.
Participants : Bertrand, Emilie, Arnaud, Michel
Compte rendu : Michel, très librement inspiré des écrits d’ un certain Marcel P

Desob à la grotte rouge

  • PARTICIPANTS : Ludwig , Rita
  • BUT : Désob
  • MÉTÉO : beau bleu mistral

Nous poursuivons la desob de cette faille en ce dimanche après-midi. Les etroitures de l’entrée ont été mise aux normes. Nous pouvons accéder à la faille qui nous intéresse avec beaucoup moins de contorsion. Le véritable chantier commencera à la prochaine sortie.

SORTIE DU MARDI 10 JANVIER 2023 SORTIE ARDÉCHOISE AU POUZIN GROTTE 1 ou 2 de la Vierge et repérage de l’aven du BABS

PARTICIPANTS : GÉRARD. GILLES. PIERROT. JACKY

BUT : VISITE ET DÉSOBSTRUCTION + repérage

MÉTÉO : SUPER BELLE JOURNÉE

Le R/V est fixé pour 14 H sur le grand parking du Pouzin. Nous sommes rendus tous à l’heure prévue et les sacs faits nous partons à pieds en direction de la Vierge par un long chemin bien tracé au-dessus de l’agglomération qui mène à la statut érigée là-haut sur le karst, 35 mn de marche bien raide mais il fait un grand soleil, la vue est belle sur le Rhône et la plaine au loin, ciel bleu, un régal !

On trouve la fameuse cavité quasiment au sommet, le porche s’enfonce dans le pendage, bel orifice bien sec et propre. De suite Gilles sort ses baguettes et part sur le plateau pour ressentir des infos sur la position des galeries. Nous explorons rapidement les 35 m de galeries légèrement concrétionnées avec obstruction sur calcification terminale. Point bas environ à -10m ? Très peu de courant d’air (on est sous le sommet du plateau) mais on tente un sondage dans un virage de la diaclase qui semble prometteur. En une heure nous déplaçons un M3 de blocs au sol sans rencontrer d’élargissement ni de suite favorable. Une chauve-souris habite le plafond. Sans faire de gros travaux il sera impossible de finaliser le sondage, bref on laisse tomber !

TPST 1H30 l’intérêt n’est pas trop motivant ici. Nous devions aussi aller repérer un autre trou, à peu près au même niveau mais assez loin de là où nous sommes, il faudra faire autrement surtout partir du bas en se garant au bord de la route qui mène à Privas et en remontant un grand ravin nous devrions découvrir cette grotte, indiquée par une personne qui s’occupe du patrimoine de la région. Il est déjà 16 H 30, on redescend aux voitures par le même chemin, puis dans un virage on s’enfonce dans la garrigue 100 M au – dessus du village, là où Gérard veut nous montrer un aven qu’il a du mal à retrouver, mais on y arrive à grand peine ! Petit puits d’entrée en faille de 10 M avec un passage étroit qu’il faudrait dynamiter. Nous n’avons pas le matos pour y descendre !

Ce trou exploré en 1987 par Bruno S. de Loriol serait bien placé pour jonctionner avec la grotte du Lavoir du Pouzin située juste en dessous. Je ressors des buis tout griffé, la main en sang, cette fin de journée a été bien pénible ! En tout cas cette reprise du sport après 2 mois d’inactivité nous a été bénéfique, surtout pour Jacky et moi qui avions eu la crève au moment des fêtes ! La météo super bonne en ce début de saison incite à poursuivre nos séances de désob en Vercors-Ardèche. L’odeur du thym très odorante nous a débouché les sinus, enfin la guérison est proche et de nouvelles aventures nous attendent.

On espère une bonne année fructueuse en découvertes.

Pierrot

Aven Joly

TPST: 5 heures

  • Présents :
    • Ludwig
    • Charlotte
    • Nadine
    • Éric
    • Rita
    • Arnaud

But : Repérage pour une sortie à venir jusqu’aux sauts quantiques

Objectif : Couloir de la sublimation

Suite à une sortie avec l’EDS qui m’a fait découvrir le trou, j’ai voulu y retourner pour toucher le fond ou presque. Mais avant cela, je veux faire découvrir la cavité et me familiariser avec l’équipement du début de la grotte.

Après un réveil de bivouac au Rousti, nous nous dirigeons vers la cavité à 9h. Arrivé au parking, nous nous équipons, préparons un mono kit d’équipement et Jojo qui a passé la nuit avec nous propose de nous rapprocher du départ de la marche d’approche. Nous nous entassons donc tous dans le sexnic et démarrons, on s’arrête 10 mètres plus loin, c’était bien la peine… Après une petite randonnée, je commence à équiper. Tout se passe à merveille, j’arrive en haut du dernier puits, de là j’aperçois ce couloir de la sublimation. Mais Ludwig me stoppe car pour rentrer, je dois prendre un train. Nous mangeons donc une barre de céréales et entamons la remontée. Je déséquipe, c’est super. Nous revenons aux voitures et repartons dans nos foyers après ce week-end spotif avec le sourire et moi l’envie de retourner jusqu’au fond.

Arnaud

Compte rendu de la sortie du 16 janvier 2023 – 2 avens à Vallon Pont d’Arc (07)

C’est une sortie que j’avais déjà effectuée avec mon fils mais dont mes souvenirs sont confus. Nous avions pénétré par l’entrée 3. Bref, les photos et vidéos prises à l’époque et avec le topo, ont permis de recréer des synapses déficientes entre mes neurones ramollis !

Participants : Émilie, Bertrand et Éric

Objectif : Tester des éclairages afin de filmer sous terre.

TPST : 03h30

Situation géographique :

La grotte des 2 Avens est sise au S.-S.-E de la commune de Vallon Pont d’Arc. Elle prend place sur le flan nord de la colline de Chasserou, dit aussi de l’Arduc. D’ailleurs, on y trouve une succession de grottes. On y accède en empruntant la D290, dans le sens nord-sud, depuis la sortie S.-E., en direction du Pont d’Arc. Après avoir franchi le pont qui enjambe la rivière l’Ibie et parcouru 170 m, prendre le chemin du Pont Romain sur la droite. Suivre ce dernier sur 250 m et laisser la voiture sur la droite aux endroits où le chemin est le plus large.

Image 1 (plan de situation)

Marche d’approche : 15 à 20 mn. On décide de s’équiper au départ, à l’emplacement du stationnement des véhicules. La température est de 4°/5°, mais le ciel est parfois dégagé, laissant apparaître RA.

Départ : 11h00

Au croisement du chemin du Pont Romain et du GR4F, on emprunte ce dernier sur la droite et on le suit sur 400 m (dénivelé 60 m). Dans un virage à gauche, on amorce le petit sentier qui part sur la gauche sur une distance de 350 m (dénivelé ~50 m). Arrivée à une bifurcation, c’est le sentier de gauche, pratiquement plat, que l’on parcourt sur 200 m (juste un peu en dessous de la courbe de niveau 200) et qui nous mène directement à l’entrée 3, située à l’ouest. Celui à droite conduit à Grotte Nouvelle.

En ce qui nous concerne, on laisse cette entrée sur notre droite pour se diriger sur l’entrée 2, plus à l’est, en poursuivant le sentier sur une cinquantaine de mètres, puis en escaladant un petit ressaut rocheux d’environ 2 mètres. Là, s’ouvre le puit de 20 m.

Image 2 (sentiers d’accès)

On repère plusieurs spits présents sur le bord de la cavité pour notre tête de puit, lequel ne comportera pas de fractio. Ce sera une descente plein gaz.

Image 3 (entrée 2 – Est)

On commence notre descente à 11h30.

C’est Émilie qui équipe. Une MC est installée sur deux arbustes pour accéder aux spits. C’est le seul équipement qui sera effectué du fait que l’objectif est de se rendre dans la galerie principale pour effectuer un film en testant différentes sources d’éclairage.

Nous descendons chacun à notre tour, pour nous retrouver sur un sol légèrement pentu d’une vingtaine de mètres. Au bas du puit, sur notre gauche, une corde, déjà en place sert de MC pour une vire. Elle permet, une fois en haut, de rejoindre par la gauche l’entrée 1 après avoir traversé une petite galerie d’une vingtaine de mètres. D’ailleurs, en haut de la vire, on peut apercevoir la lumière du jour qui pénètre par cette entrée. Toujours en bout de MC, sur la droite, on rejoint l’entrée 3 constituée d’un puit dont la tête d’amarrage se fait au plafond. Une MC est recommandée depuis la paroi située dans notre dos.

Nous n’emprunterons pas cette vire mais poursuivons dans la grande galerie après avoir passé un passage étroit, en ramping, située sur la gauche au bas de la pente du puit de l’entrée 2.

C’est dans cette grande galerie que nous posons des éclairages en différents points pour filmer. Le choix n’est pas évident et demande à faire des essais et à en déplacer certains pour avoir une bonne qualité de prise de vues. On y verra des colonnes de calcite, de petits gours…..

Une fois le film dans la boîte, nous retournons au puit d’entrée pour effectuer notre remontée.

Retour au véhicules : 15h30.

Où nous prenons notre déjeuner qui en quelques sortes aurait pu être notre goûter.

Image 4 (topo coupe 1)

Image 5 (topo coupe 2)

Je tiens à remercier Émilie et Bertrand, de m’avoir permis de venir avec eux pour voir leur technique cinématographique en milieu souterrain.

Eric.

L’aven Rousti.


2 jours d’aventure, 2 grottes, 3ème sortie pour moi.
Tous au rendez vous à partir de 12h30, nous installons le campement pour la nuit. Nous récupérons du bois et cherchons des emplacements pas trop en pente. Pique-nique sur zone pour certains puis nous partons pour le trou. Descente du 1er puits, étroiture avec 2 stalactites comme prises de main dûment commentées par Ludwig.

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