Il fait beau mais il ne fait pas chaud en ce dimanche matin.
L’équipe du jour : Marcel, Claire et Gilles, Gaby et Jacky, Jean-Jacques, Sylvane et Baba, Jacques C., Ghislaine et Gérard. L’après midi Dorian vient en renfort.
Il manque Janine et Pierrot, ils ont la grippe. D’ailleurs de la dernière séance, il y a 6 jours, plusieurs ont été malades : Marcel, Ghislaine, Gérard…. La Poule Rousse tousse !
La journée commence mal, Marcel a encore des restes de la grippe, il ne souhaite pas descendre. Jacques a un problème à l’œil, donc pareil.
Nous descendons à 2 seulement, Gilles et Gérard, alors qu’il faudrait être au moins 4 pour dégager les gravats du tir de la dernière séance.
Par précaution, nous descendons le plus possible de matos pour éviter de remonter au fractio pour guider les kits. Le burineur fait parti du voyage, mais nous apprenons que le groupe électrogène en surface fonctionne mais ne produit pas d’électricité.
Marcel essaie de voir ce qu’il a mais ne trouve pas la panne.
Donc pas de jus pour le fond….. pour la journée.
Au fond justement, beaucoup de gravettes, nous voyons d’un peu plus près le plan incliné qui part sous un pont rocheux. Quand des cailloux tombent dessous nous les entendons cascader jusqu’à ce qu’ils deviennent inaudibles. C’est sur, il y a plusieurs mètres de vide sous nous, quand à savoir si c’est assez large pour passer….. !
Un bloc suspendu fracturé par le tir bouche le passage, un petit coup de pied de biche et il bouche le fond. Nous sommes dans une sorte d’entonnoir. La gravette du tir achève de boucher le fond.
Nous stockons les débris sur la plateforme au dessus. C’est étroit, mais nous arrivons à nous croiser pour échanger nos places. Il est 11 h30 nous avons le perfo sur accu et des pailles. Nous perçons 2 trous de 10 X 400 et 1 de 10X600, et nous remontons en surface après avoir fait partir les charges.
En surface il fait nettement plus chaud. Nous nous installons dans notre salon d’hiver en plein soleil.
Baba nous présente sa poule blanche en peluche qui fait cot cot quand il la touche. Une poule blanche à la poule rousse ? Après tout il y a bien des oies blanches qui sont roses !
Nous commençons à manger et Dorian arrive tout équipé. Ce matin il encadrait des jeunes recrues du club à la baume des Anges et une fois fini, il a sauté dans sa voiture tout équipé pour nous rejoindre.
Encore beaucoup de desserts qui tournent entre tous. Jacky arrive à mettre la main sur les cerises à l’eau de vie que Pierrot avait planqué dans la garrigue.
Nous redescendons dans l’aven à 3 cet aprèm : Gilles, Dorian et Gérard. Le tir à partiellement réussi, nous dégageons au burineur sur accu les restes du tir et nous remontons dans la petite salle(cloche) les bacs de gravats.
L’électricité manque quand même, la puissance du burineur sur acu n’est pas optimum.
Nous échangeons nos places, Dorian se met au fond et essaie de voir avec sa camera, mais sans succès. Il arrive à sortir le bloc qui était tombé au fond ce matin. Nous continuons à remonter des bacs. Mais à 16 h 30 nous arrêtons le chantier et nous remontons. Nous avons gagné 1 m, il faudra faire un gros tir la prochaine fois.
A 17 h après avoir trié le matos, nous quittons le site.