Compte rendu de la 106ème séance à l’aven des Poulettes du samedi 03 juin 2023

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Participants : Marcel C, Jean-Jacques A, Jacques C (vieille moustache), Claire et Gilles M, Sylvane et Baba R, Janine D et Pierrot G, Gaby et Jacky S, Ghislaine P et Gérard D. Visite en début d’après midi de René I.

Les arrivées des aficionados se font relativement étalées : entre 9 h et 10 h 30. la température commence à monter rapidement. Heureusement l’entrée du trou est à l’ombre pour la matinée.

A noté : la tenue de Jacques, calot et pantalon de gendarme. Il a peut-être l’intention de nous mettre au pli. Mais nous n’accepterons jamais la mise en plis ! Surtout avec deux anciens postiers !

Le but de la journée est de dégager le fond du dernier coup de tonnerre.

Marcel étant descendu au fond quelques jours avant, y avait trouvé énormément de CO2.

Aussi nous installons en priorité la ventilation pour que nous puissions travailler dans de bonnes conditions.

Ensuite nous descendons le moteur poulie à – 15 m et tout ce qui va avec : corde, ligne électrique, rallonge..etc..

Marcel se met à la poulie. Pour guider les bacs le long des 15 m restant pour remonter du fond, il y a Gilles et Jacques. Au remplissage de bacs est Gérard. Le reste de l’équipe est dehors à surveiller le groupe électrogène et la ventilation.

Le premier bac remonte à 11 h : à midi tout est propre. Il n’y a pas de courant d’air là ou nous l’avions ressenti lors de le précédente séance. Le fond est toujours constitué d’une petite diaclase remplie de glaise qui semble horizontale : nous ne descendons plus !. Le plancher est toujours en roche mère. Même si les baguettes indiquent une galerie dessous, il n’y a pas de fissure ou de comblement qui pourrait être exploités pour descendre.

Nous remontons pour le casse-croûte. Il fait très chaud en surface, des bâches ont été tendues pour se protéger du soleil. A l’apéro, le rosé pamplemousse a ses partisans, même Claire y goûte dans un gros bol !

A la fin du repas, il y a plusieurs gâteaux à déguster. On est dans les prolongations.

Un petit rhum et des cerises à l’eau de vie terminent ces agapes.

Nous recommençons à bouger , il est 14 h passé. Nous descendons le burineur et c’est la même équipe qui s’y colle. Burineur que nous croyions en panne lors de la dernière séance, mais c’était le groupe électrogène le fautif, il n’était pas assez puissant pour que la percussion fonctionne.

Effectivement il marche bien avec le groupe qui va bien.

Nous remontons encore plusieurs bacs, Cela résonne au fond, mais ce n’est que la glaise contre les blocs qui est la cause de ce phénomène.

Vers 16 h 30 nous avons fini le nettoyage du fond. Tout est prêt pour un feu d’artifice.

Mais faut-il encore percer ? Attendre un positionnement du réseau de N17 par les plongeurs ?

Ou attendre une prochaine crue pour voir comment ça réagit dans les Poulettes ?

Sur ce questionnement, sans réponse ferme, nous nous sommes quittés à 17 h 15.

Gérard

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