84ème
sortie.
Il y a foule pour cette séance de désob.
Les présents : Gilles et Claire M,
Jean-Jacques A, Thibaud M, Baba R, Alex L, Ludwig F, Marcel C, Pierrot G et
Janine D, Jean Louis, Ghislaine et Gérard D.
A 9 h 45, tout le monde est là.
Le samedi précédent, nous avions fini la
journée par un grand coup de tambour au fond.
Nous descendons voir le résultat, nous
constatons qu’il y a une dalle décollée qui est restée en place. Nous avons
besoin du burineur, un coup de généphone pour la surface et il est rapidement
acheminé au fond.
Nous réinstallons la partie souple de la
ventilation qui avait été rangée plus haut pour éviter qu’elle parte en
confetti avec le feu d’artifice de la semaine dernière.
La configuration du trou nous oblige
toujours à remonter les déblais en surface et son parcours de plus en plus
sinueux augmente le nombre de personnes nécessaires pour son acheminement. Aussi
maintenant c’est, au minimum, 3 personnes au fond, 1 personne à la base du
puits remontant, 2 autres a – 5 m et 2 à l’extérieur.
Aujourd’hui il y a assez de monde.
Nous avons 2 spéléos qui n’étaient jamais venus : Ludwig, ancien du MASC qui
reprend l’activité et Jean Louis du FJ Seyssins, copain de Pierrot qui et
l’équivalent de René pour son club.
Les bacs remontent, il ne sera fait aucune
mention sur cette action. Même si nous aimerions bien avoir les bacs avec
mentions.
Vers midi le filon s’épuise déjà, le fond
est propre et le départ dégagé.
Il n’est toujours pas large (une main), et
il repart à gauche contrairement à ce que nous avions vu samedi dernier.
Nous ne voyons pas derrière ce virage.
A midi et demi tout le monde est dehors,
et nous rejoignons notre cuisine d’été sous les arbres pour attaquer le
grailloux.
Le problème, c’est que les conversations
sont un peu bridées. Comme il y a beaucoup de monde, nous avons de la gêne à
dire du mal de ceux qui ne sont pas là……. puisque nous sommes tous là !
A 14 h nous reprenons la direction du
chantier ; Gilles descend sa caméra endoscopique pour voir derrière le virage.
Rien de bien évident, cette partie semble
plus horizontale et ce n’est toujours pas large.
Et nous repartons pour une nouvelle séance
de perçage, le burineur est remonté et le perfo descendu.
10 trous plus tard et une belle pieuvre
qui les relie, nous ressortons des Poulettes.
A 17 h, une
onde de choc remonte du puits. Nous avons terminé la journée. Nous avons la visite
de Gérard S. qui nous aide à ranger le matos.
Gérard