On en a parlé de ce trou boueux au nord de Montélimar, il est temps d’aller voir dedans.
Selene, Rita, Gerard, Ludwig, Arnaud on répondu présent.
RDV 10h00 dans la carrière, on s’équipe et Arnaud étrenne son nouveau matos. Une fois l’équipe au complet, nous nous rendons rapidement à l’entrée de la cavité en 5 minutes et c’est parti pour des étroitures sur flaques glissantes…Bref que du plaisir.
Selon les dires de Jean-Jacques, il n’y avait pas besoin de matériel… Nous nous arrêtons donc sur un ressaut de 4 m qui nous inspire une glissade incontrôlée. Au retour nous regardons les concrétions en plafond contrastant avec le remplissage bas d’argile humide.
Le retour sur quelques passages bas est plus facile…
Retour à la carrière facilement, ou chacun de nous se déséquipe et prend un casse croûte sous ce super soleil d’hiver.
Arnaud profite de son super tapis… bref de tous ses nouveau jouets.
On remballe tout. Gérard repart chez lui après avoir guidé la troupe. Rita file à Avignon. Arnaud, Séléne et moi suivons Charlotte pour son déménagement.
Le lendemain, on déménage Charlotte…
Le surlendemain on redescend dans le sud pour enkiter les cordes de l’aven Joly. Mais le soir venu….
Arnaud : “ il est ou mon matos ?”
Ludwig : “Dans le coffre !
Arnaud : beh non !
Ludwig : Ah…
Après quelques minutes de réflexion se transformant en effroi, nous réalisons que le matos d’Arnaud est toujours dans la carrière, au sol…. à 150 km de nous, depuis deux jours….
Un rapide coup de fil à Charlotte qui coupe en urgence son déménagement et récupère le matos juste avant un groupe de randonneur.
Cette magnifique action vaudra l’inscription, pour la deuxième fois, à la grande liste des dossiers moches…
Bref, c’était la baume de Tourrange.