Les présents : Claire et Gilles, Gaby et Jacky, Janine et Pierrot, Sylvane et Baba, Jean-Jacques, Marcel, Jackie, Ghislaine et Gérard.
Température estivale en ce début de week-end de Pentecôtes.
A noter que Janine et Pierrot, Gaby et Jacky, Ghislaine et Gérard ont passé la nuit en fourgon dans le coin et qu’ils continuent leurs périples après la séance aux Poulettes.
Gilles est passé chez Jean-Jacques pour récupérer le matos de désob car la voiture de ce dernier est toujours en réparation.
Nous installons le groupe, la poulie à – 5 m et la ventilation. Aujourd’hui nous remontons les gravats déposés à – 15 m lors de la sortie précédente.
Gérard est à – 15 m, Gilles à – 10 et Marcel et Pierrot à – 5 m, les autres sont dehors.
La remontée en surface des bacs commencent. Il est 10 h 15.
1 heure et quart plus tard, nous avons entièrement vidé le diverticule à – 15 m.
Une fois vide, nous nous remémorons les causes pour lesquelles nous avons abandonné la désob à cet endroit : nous étions descendu de 2 m en suivant une diaclase, mais plus nous descendions plus elle était petite. Il y avait un écoulement d’eau lors de grosse pluie et même une petite stalagmite au départ. Il y avait un courant d’air comme de l’autre coté où nous avons finalement continué.
Aujourd’hui en voulant sonder le fond avec le pied de biche, nous sentons du vide au dessus qui n’était pas visible du fait de la configuration des lieux : impossibilité de s’allonger au fond. C’est le haut de la diaclase qui est plus large que le fond, voilà qui ravive notre intérêt pour cet endroit.
Nous essayons d’élargir au marteau burin, nous remontons 2 bacs.
Il faut le burineur pour continuer, mais il est l’heure de manger.
Nous remontons pour retrouver tout le monde dans notre cuisine d’été.
Le casse-croûte est toujours l’occasion de goûter à différents mets et breuvages. Celui-ci respecte cette tradition. Les interrogations se télescopent : faut-il continuer à – 15 ? Doit on mettre en veilleuse le fond à – 28 ? Ou faut-il continuer les deux ?
A 13 h 45 nous descendons le burineur à – 15 m. Nous continuons à dégager le fond. Mais rapidement nous retrouvons la roche compacte ou le burineur ne peut plus rien. Nous voyons un peu mieux : nous sommes dans un virage mais derrière ça se rétrécit un peu. Maintenant il n’y a que le perçage qui peut nous permettre de mieux voir.
Nous choisissons finalement une séance de mange pierre à – 28 m. 9 trous sont percés.
A 16 h 30 une forte respiration du trou conclu cette journée aux Poulettes.